Ou ma réinterprétation du « Me, Myself and I »

Auteur/autrice : Charlotte de Celles (Page 7 sur 11)

Août = famille, farniente et frittata

FrittataJe ne viens pas d’une grande famille. Les 11, 17 ou 24 enfants du côté maternel ou paternel, je ne connais pas. Ce qui ne m’empêche pas de profiter (parfois) des avantages d’appartenir à l’un de ces clans. Dans mon cas, ce sont les Turcot-du-Lac-Hénault. Pour faire ça court et simple : été comme hiver, la tribu Turcot accueille souvent sa famille (très) élargie dans l’un des nombreux chalets que possèdent ses membres sur les bords du Lac Hénault, dans la région de Lanaudière. Le beau-frère de Beau-frère étant un Turcot, Soeur fait donc partie de la famille élargie desdits Turcot-du-Lac-Hénault. Et quand l’occasion se présente, je profite aussi de cet accueil « familial ». Cette année, c’était au chalet du frère du chum de la fille aînée de la belle-soeur de ma soeur, la soeur de mon beau-frère; oui oui, la femme du beau-frère de ma soeur et de mon beau-frère, c’est ça. Le frère du mari en question n’est pas un Turcot, mais le mari — son frère — est « accoté » avec une Turcot. La nièce de ma soeur. Et de mon beau-frère. Anyways. Vous me suivez, j’en suis sûre. Lire la suite

Juin = charnière

CharnièreJe suis entrée de plain-pied dans la quarantaine en juin dernier.

Je vous vois d’ici perplexe. N’ai-je pas eu 40 ans il y aura bientôt trois ans?

Je terminerai bientôt 43 révolutions sur cette bonne vieille Terre et j’entamerai ma 44e par la même occasion, oui. Cela dit, il y a toujours eu décalage entre ma raison, mon coeur et mon corps. (Du genre que mes instituteurs et mes professeurs ont souvent demandé à mon père de me faire sauter une — parfois deux! — année(s) scolaire(s) et que celui-ci a toujours refusé par souci d’adaptation normale et d’insertion sociale. On l’en remercie d’ailleurs, malgré ses propres incapacités.)

Non. Je vous parle évidemment d’âme, de bonheur, de comportements et de choix de vie. Lire la suite

Chronique d’un repos forcé

Si tu me connais un peu, tu sais que je suis en arrêt de travail. Si tu ne me connais pas, tu l’apprends. Dans un cas comme dans l’autre, tu auras peut-être compris que la cause n’est pas une blessure physique.

J’en entends déjà certains me dire que je devrais être plus discrète à ce sujet. Primo, je n’en ai pas honte. Deuxio, je n’ai jamais donné dans l’opacité. Et tertio, y en a marre des tabous.  Lire la suite

« Anciens billets Billets plus récents »

© 2021 Gaspard, Béatrice et moi

Thème conçu par Anders NorenHaut ↑