Ou ma réinterprétation du « Me, Myself and I »

Catégorie : boustifaille (Page 2 sur 2)

Les chroniques linguistiques de Béatrice : fourme, formage, fromage?

LangueOu comment relativiser certains emprunts ou formes « fautives » actuelles :

Lorsque l’Académie française décida de répertorier les mots français pour en faire un dictionnaire au XVIIe siècle, ses choix se fondèrent sur l’usage et le bon goût… mais quel usage au juste? La France comptait des centaines de patois et de langues. L’usage de l’époque hésitait entre formage et fromage. On disait le premier de façon correcte, puisque le formage consistait à former ou à mouler le lait (cette forme reste présente de nos jours dans le mot fourme), mais on pencha cependant pour fromage — fautif —, car il était plus usuel.

Une bonne fourme d’Ambert ou du Cantal pour le souper ce soir?

Autisme alimentaire ou pourquoi j’adore les galettes de riz suédoises

CdC 2013. Tous droits réservés.

Soyons honnêtes. Les repas gastronomiques, c’est bon. Vraiment. Super. Bon. Mais bon justement. Dans la vraie vie — du moins la mienne — je n’ai pas le temps de me concocter de « bons petits plats » avec un p’tit *insérer vin de votre choix ici 1975* pas piqués des vers tous les soirs. En fait, soyons honnêtes (part II), je n’ai pas souvent pas envie de me concocter quoi que ce soit. (Traitez-moi de tous les noms, j’assume.) Mais la gastronomie c’est tendance à notre époque. Du genre que tu devrais avoir des papilles olympiques pour savoir déceler entre l’amer, l’acide, l’umami, le sucré et le je-ne-sais-trop-quoi-encore. Tu devrais être sensible à des milliers de saveurs et d’accords. Et tu devrais surtout savoir t’improviser chef-vedette, star de la mayonnaise faite main et virtuose de la recette « non non je vous jure que c’est tout improvisé » (me semble, oui; et non, je ne t’inclus pas là-dedans LMS).  Lire la suite

Billets plus récents »

© 2021 Gaspard, Béatrice et moi

Thème conçu par Anders NorenHaut ↑