Ou ma réinterprétation du « Me, Myself and I »

Catégorie : boustifaille (Page 1 sur 2)

Août = famille, farniente et frittata

FrittataJe ne viens pas d’une grande famille. Les 11, 17 ou 24 enfants du côté maternel ou paternel, je ne connais pas. Ce qui ne m’empêche pas de profiter (parfois) des avantages d’appartenir à l’un de ces clans. Dans mon cas, ce sont les Turcot-du-Lac-Hénault. Pour faire ça court et simple : été comme hiver, la tribu Turcot accueille souvent sa famille (très) élargie dans l’un des nombreux chalets que possèdent ses membres sur les bords du Lac Hénault, dans la région de Lanaudière. Le beau-frère de Beau-frère étant un Turcot, Soeur fait donc partie de la famille élargie desdits Turcot-du-Lac-Hénault. Et quand l’occasion se présente, je profite aussi de cet accueil « familial ». Cette année, c’était au chalet du frère du chum de la fille aînée de la belle-soeur de ma soeur, la soeur de mon beau-frère; oui oui, la femme du beau-frère de ma soeur et de mon beau-frère, c’est ça. Le frère du mari en question n’est pas un Turcot, mais le mari — son frère — est « accoté » avec une Turcot. La nièce de ma soeur. Et de mon beau-frère. Anyways. Vous me suivez, j’en suis sûre. Lire la suite

Chronique d’un repos forcé

Si tu me connais un peu, tu sais que je suis en arrêt de travail. Si tu ne me connais pas, tu l’apprends. Dans un cas comme dans l’autre, tu auras peut-être compris que la cause n’est pas une blessure physique.

J’en entends déjà certains me dire que je devrais être plus discrète à ce sujet. Primo, je n’en ai pas honte. Deuxio, je n’ai jamais donné dans l’opacité. Et tertio, y en a marre des tabous.  Lire la suite

Les chroniques linguistiques de Béatrice : fourme, formage, fromage?

LangueOu comment relativiser certains emprunts ou formes « fautives » actuelles :

Lorsque l’Académie française décida de répertorier les mots français pour en faire un dictionnaire au XVIIe siècle, ses choix se fondèrent sur l’usage et le bon goût… mais quel usage au juste? La France comptait des centaines de patois et de langues. L’usage de l’époque hésitait entre formage et fromage. On disait le premier de façon correcte, puisque le formage consistait à former ou à mouler le lait (cette forme reste présente de nos jours dans le mot fourme), mais on pencha cependant pour fromage — fautif —, car il était plus usuel.

Une bonne fourme d’Ambert ou du Cantal pour le souper ce soir?

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