Gaspard, Béatrice et moi

Ou ma réinterprétation du « Me, Myself and I »

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Mains froides, cœur chaud

The glacial landscape reminded her that she was, first and foremost, a human living on a planet.

The Midnight Library, matt haig

Cette (jolie) phrase décrit très bien le sentiment qui m’a habitée au moment d’atteindre le flanc du mont Storsteinen (le « gros rocher » en français), à 420 m d’altitude au-dessus de la ville de Tromsø, en Norvège, il y a deux ans. Ce mont surplombe la ville et donne aux visiteurs la possibilité d’accéder au mont adjacent Tromsdalstinden et d’admirer la ville de haut. Je vous joins une photo pour l’appréciation visuelle.

Magnifique, je sais.

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La jolie phrase (parfumée) de la semaine

Elle parfume le temps

Monsieur Marcel, à propos de Françoise, son amie à la retraite qui s’occupe des fleurs et des chats du cimetière Montmartre

Entendue dans l’épisode BONUS 1 du balado Cerno. J’adore ce balado, car il me fait revivre mes années parisiennes en sons et en atmosphères. Des sons qui se transforment souvent en odeurs. Ce sont mes petites madeleines de Proust et mon petit moment synesthésique matinal. (J’écoute mes balados pendant ma course du matin.)

Ça m’a réchauffé le cœur. Et Dieu sait qu’à – 18, ressenti – 34 ce matin, j’en avais bien besoin.

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