Ou ma réinterprétation du « Me, Myself and I »

Étiquette : bonheur (Page 1 sur 2)

Anniversaire!

Bon. Ben, ça y est. Un an de plus au compteur d’ici quelques jours. Bon anniversaire à moi! Même si je suis tournée vers l’avenir, je n’ai pas pu m’empêcher dernièrement de repasser (parfois même ressasser) le film des quelque 365 jours (ou 31 536 000 secondes, pour faire plaisir à cousin Clément 🙂 ) qui viennent de s’écouler. Je ne tiens pas vraiment de journal intime, difficile alors de tout retenir. En fait, le présent blogue se voulait un peu cela : j’y ai écrit, mais je me suis aussi censurée, pour ne pas choquer ou déranger certains yeux.  Lire la suite

Juin = charnière

CharnièreJe suis entrée de plain-pied dans la quarantaine en juin dernier.

Je vous vois d’ici perplexe. N’ai-je pas eu 40 ans il y aura bientôt trois ans?

Je terminerai bientôt 43 révolutions sur cette bonne vieille Terre et j’entamerai ma 44e par la même occasion, oui. Cela dit, il y a toujours eu décalage entre ma raison, mon coeur et mon corps. (Du genre que mes instituteurs et mes professeurs ont souvent demandé à mon père de me faire sauter une — parfois deux! — année(s) scolaire(s) et que celui-ci a toujours refusé par souci d’adaptation normale et d’insertion sociale. On l’en remercie d’ailleurs, malgré ses propres incapacités.)

Non. Je vous parle évidemment d’âme, de bonheur, de comportements et de choix de vie. Lire la suite

Maudites vacances

BlancoiresJe n’aime pas les vacances.

Vous avez bien lu. Je n’aime pas les vacances comme on n’aime pas les thérapeutes qui arrivent à nous faire réaliser qu’on a quelques (plusieurs?) (de nombreux?) changements à faire dans sa vie. Damn you vacation.

J’en suis au cinquième jour. Cinq jours où j’ai pu – notamment – faire de la photo, constater (confirmer) que je n’étais pas particulièrement (du tout) heureuse au travail, jouer à la touriste dans ma propre ville (Montréal c’est toi ma ville), aller au cinoche en plein après-midi, fréquenter des lieux en bonne compagnie sans avoir à me soucier de (presque) quoi que ce soit. Une vraie torture, quoi! Il me reste neuf jours comme ça. Préparez les antidépressifs pour quand je devrai retourner travailler.  Lire la suite

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