Si nous sommes amis sur Facebook, tu connais déjà mes décousus en rafale — ou mes rafales de décousus (et ses autres appellations variées) —, mais comme j’écris ce billet sur le blogue et qu’il sera relayé aussi par Twitter, il est possible que nous ne nous connaissions pas (encore). Pas grave : primo, je délaisse de plus en plus Facebook et deuxio, je cherche justement à élargir mon bassin de lecteurs. Je dis bassin et on s’entend que ça représente une dizaine de personnes, mais qui sait? Peut-être que petit bassin deviendra grand. Pas besoin de m’ajouter sur Facebook, donc, mais restons en contact ici ou sur Twitter ou encore sur Instagram (ou toutes ces réponses) si vous le voulez.

Ces décousus sont devenus mes minis chroniques de pandémie. Ils se veulent ludiques, quelquefois nostalgiques, parfois sérieux, mais ils sont ce qu’ils sont : parfaitement décousus. Bonne lecture!

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